Elles sont nombreuses. Parmi elles se trouvent les aides pour financer le surcoût des soins de votre enfant. En effet, certaines prises en charge effectuées en libéral ne sont pas remboursées par l’assurance maladie. C’est le cas par exemple des psychomotriciens, psychologues, ergothérapeutes, … Pour les financer, vous devrez fournir dans le dossier MDPH des devis de ces professionnels afin que vous soit versé mensuellement une Allocation d’Éducation de l’Enfant Handicapé (AEEH) ou une Prestation Compensatoire du Handicap (PCH) selon votre choix. Vous trouverez plus d’informations au sujet de ces deux aides sur le site caf.fr.
L’allocation de rentrée scolaire (ARS) est versée dès l’entrée de l’enfant à l’école et est maintenue même s’il est accueilli en institution (IME, hôpital de jour, …).
Des aides au temps libre (centre de loisir, colonies de vacances) sont accordées et même revalorisées pour votre enfant et vous pouvez également bénéficier d’une aide aux vacances en famille elle aussi revalorisée.
Certaines communes proposent des aides divers aux familles avec un enfant en situation de handicap, renseignez-vous auprès du Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) de votre ville.
N’hésitez pas non plus à vous renseigner sur vos droits aux aides auprès de votre Conseil Général (département) ou du Conseil Régional de votre lieu de résidence.
Depuis peu, la CAF finance des heures de répit pour les familles d’enfants handicapés en payant des professionnels pour assurer des heures de garde d’enfant et ainsi permettre aux parents de pouvoir diminuer leur stress, sortir un peu de leur isolement ou tout simplement accorder un peu plus de temps à la fratrie.